Plaidoyer

Notre conviction : la nécessité d’une double action

  • 1

    Une action de visibilité
    en matière de communication

  • 2

    Une action d’influence
    auprès des pouvoirs publics

Notre mission

Santé Mentale France, seule fédération rassemblant tous les acteurs de la santé mentale, mobilise les pouvoirs publics et l’opinion pour faire reconnaître les enjeux de la santé mentale, refonder les pratiques, changer le regard et faire progresser les droits des personnes concernées

Refonder la méthode et la gouvernance de la politique de sante mentale

  • Impliquer les personnes concernées et leur entourage dans toutes les décisions et définition des politiques de santé mentale
  • Orienter les pratiques vers le rétablissement des personnes, en consolidant leur pouvoir d’agir et la prise en compte de l’ensemble des dimensions de leur vie.
  • Décloisonner et Faire travailler tous les acteurs ensemble en organisant les complémentarités entre les quatre secteurs (sanitaire, médicosocial, social, proches)
  • Instaurer un pilotage interministériel des politiques de santé mentale afin d’assurer la coordination qui doit être mise en œuvre avec des départements ministériels différents (Santé, Éducation nationale, Travail …)

Redéfinir une grande politique nationale de santé mentale

Renforcer la prévention

  • Détection des troubles et la mise en place de suivis précoces, notamment via la promotion du module PSSM (Premier Secours en Santé Mentale)
  • Accès rapide aux soins. Abolir les « listes d’attente »
  • Déployer des campagnes de sensibilisation

Revoir la formation initiale et continue des professionnels

  • Accroissement de la polyvalence des formations initiales et continues des diverses professions concernées

Diffuser les bonnes pratiques sur le terrain

  • Développer la pair-aidance en général, et des lieux d’entraide et de solidarités en particulier (GEM)
  • Constituer une banque de données sur les dispositifs innovants et diffuser les programmes les plus efficients
  • Construire et rendre opposables :  des référentiels de bonne organisation (ANAP) et des référentiels de bonnes pratiques (HAS), en lien avec l’octroi des autorisations
  • Rendre les conseils départementaux co-promoteurs des PTSM (plans territoriaux de santé mentale)

Réorganiser l’offre de soin

  • Mettre en oeuvre un plan d’urgence en faveur de la psychiatrie de service public
  • Prioriser l’ambulatoire,, sortir la psychiatrie de l’hôpital
  • Généraliser la constitution des équipes mobiles pour faire de « l’aller vers » la priorité.
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